Chaque année, le mois de novembre est une occasion pour lutter contre les cancers masculins à travers des campagnes de sensibilisation. Cette période appelé novembre bleu vise à informer et à engager les hommes autour de la santé masculine.
Thank you for reading this post, don't forget to subscribe!Le cancer de la prostate est une tumeur maligne qui évolue lentement et peut aussi se propager à d’autres parties du corps. En effet, ce mal est le plus répandu chez les hommes âgés de plus de 65 ans et rare avant l’âge de 40 ans. Il faut noter que la prostate peuvent être génétiques. Mais souvent, il peut être causé par la mauvaise alimentation, la sédentarité, la consommation d’alcool et de tabac, l’exposition à des substances nocives pour l’organisme comme le plomb et les pesticide.
Selon le site « ELSAN, notre santé autrement », la tumeur de la prostate se développe de façon très lente, insidieuse et ne présente, en général, aucun signe au début de la maladie. Cette absence de signes explique l’importance du dépistage. Par conséquent, plus tard, dans l’évolution du cancer s’il n’est pas connu ou traité, plusieurs signes peuvent apparaître (difficultés urinaires, sang dans les urines, douleurs osseuses) et traduisent alors des formes plus graves de la maladie.
Pour ce faire le dépistage est la meilleure forme qui sied pour contrecarrer ce mal et permettre à ceux qui présente les symptômes d’être soigner à temps. La prise en charge d’un cancer de prostate qui vient d’être diagnostiqué dépend de nombreux éléments tels que l’âge du patient, ses antécédents médicaux, le chiffre du l’antigène prostatique spécifique (PSA), le stade de la tumeur, son degré d’agressivité (grade tumoral).
Par ailleurs, il peut se limiter à une simple surveillance ou à un traitement spécifique avec différents moyens. Après un traitement pour un cancer de la prostate, le suivi est régulier, plus ou moins fréquent, et s’établit en fonction du stade de la maladie, de son évolution, des symptômes présents ou non chez le patient.
En cas de cancer de la prostate, le suivi se compose de consultations médicales, d’analyses sanguines, voire d’examens d’imagerie médicale (IRM et scanners).