
Suite à des manquements graves constatés dans l’exercice de leurs fonctions, plusieurs agents de la Société de Transport en Commun (SOTRACO) ont été sanctionnés par le Conseil de discipline. Réuni les 27 janvier et 26 février 2025 à Bobo-Dioulasso et Ouagadougou, l’organe disciplinaire a pris des décisions allant du licenciement aux avertissements, en passant par des mises à pied.
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Dans le cadre de la préservation de la discipline et du bon fonctionnement de la Société de Transport en Commun (SOTRACO), le Conseil de discipline a siégé les lundi 27 janvier et mercredi 26 février 2025, respectivement à Bobo-Dioulasso et Ouagadougou. Ces sessions avaient pour objectif d’examiner plusieurs cas de fautes professionnelles commises par des agents dans l’exercice de leurs fonctions.
À l’issue des délibérations, des sanctions ont été prononcées :
À Ouagadougou :
Licenciement : 2 machinistes
Mise à pied de 8 jours : 1 contrôleur, 1 mécanicien, 1 machiniste et 1 aide-mécanicien
Mise à pied de 2 jours : 1 caissier et 3 machinistes
Avertissement : 2 caissiers
Sensibilisation : 1 machiniste
À Bobo-Dioulasso :
Licenciement avec poursuites judiciaires : 1 machiniste
Licenciement : 3 machinistes
Mise à pied de 8 jours : 2 machinistes
Mise à pied de 5 jours : 1 machiniste
Avertissement : 1 machiniste
Face à ces sanctions, la Direction générale de la SOTRACO appelle l’ensemble du personnel à faire preuve de professionnalisme et de rigueur dans l’exercice de leurs missions. Elle rappelle que tout comportement inapproprié nuit non seulement à l’image de l’entreprise, mais engendre également des pertes financières et matérielles importantes.
Le Service Communication de la SOTRACO insiste sur la nécessité d’un engagement collectif pour garantir un service de transport fiable et respectueux des normes établies.