Bien qu’elle n’ait jusqu’à présent identifié aucun cas de mpox ou la variole de singe, l’Égypte reste vigilante face à la propagation de la maladie sur le continent africain selon un responsable du ministère de la Santé de la terre des pharaons.
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Par Wendpayangdé Marcelin Konvolbo
La mpox, encore appelée variole de singe, « est présente dans plusieurs pays d’Afrique » et il faut prendre en compte le « danger de sa propagation », a mis en garde Hossam Abdel Ghaffar, responsable du ministère égyptien de la Santé interrogé par nos confrères de Sputnik.
Selon ce dernier, le pays jusqu’à présent n’a identifié aucun cas de mpox, mais est prêt à créer des vaccins contre la maladie.
Le 14 août, l’OMS a déclaré une « urgence sanitaire internationale », après une flambée des cas de mpox en Afrique. Le continent fait face à la propagation d’une nouvelle souche du virus, détectée en RDC en septembre 2023 et baptisée Clade Ib, plus mortelle et plus transmissible que les précédentes.
Lors d’une conférence de presse, le 19 août dernier, le ministre de la santé avait déclaré que la RDC a enregistré 16700 cas, avec un peu plus de 570 personnes décédées depuis le début de l’année. Toutefois, le pays espère recevoir les premières doses de vaccins contre cette épidémie dans les prochains jours.